LES SURVIVANTS DE LA DDASS
 


 

Les messages laissés par nos visiteurs :



Le Jeudi 14 Septembre 2023

Bonjours en quelque mot mes enfants on été placés injustement et de manière catastrophique en 2009 jusqu’en 2013 4 garçon dont deux à bas âge je venais de perdre ma femme et la Dass a considéré qu un homme seul ne pouvais pas garder 4 enfants seul 13 audience et re placement abusif par deux actrice de la dass à mon sens anti papa voir anti Yassin (mon prénom ) qui n arrangeais pas les choses pour au bout de 4 ans me les rendre tout les 4 avec des excuses et débrouille toi ..j’aimerais apporter mon histoire à votre association

Yassib
 
Le Vendredi 20 Janvier 2023

bonjour
nous sommes present mais nous remasterison le site car il se fait vieux a toute les prs qui son contacter ses derniere semaine on ne vous a pas oublier biensur.......si vous voulez avoir une disscution passe par le facebook pour l intant le lien est en dessous .........courage et grosse biz a vous tous

myriam
 
Le Jeudi 29 Décembre 2022

Bonjour a tous et a toute,
Je vous informe et en meme temps je m'excuse de ne pas avoir put vous répondre car j'ai eut des inconvenients d'ordre physique et morale qui m'ont empeché de suivre vos témoignages et de pouvoir vous répondre ou vous aider je tiens a vous dire que je suis a nouveau présente avec un collaborateur donc nous allons mener a bien les actions que vous allez put lire sur le site les survivants de la ddass. cordialement Myriam Duval et Mr David

myriam duval
 
Le Jeudi 14 Juillet 2022

A la suite de complications obstétricales successives, notre mère a été hospitalisée et placée en maison de repos. C'était en 1974, j'avais 4 ans et mes 2 autres sœurs 2 ans et 7 mois.
Pendant plusieurs mois, nous sommes restées à Forges les Bains, entre les mains d'éducatrices peu scrupuleuses : nous mangions tous les jours la même chose et nous étions battues pour un oui ou pour un non.
Je me souviens plus particulièrement avoir été battue sauvagement par une éducatrice se prénommant Michelle.
Elle ne se contentait plus de me frapper : un jour elle allée jusqu'à me barbouiller de mes excréments et de me poser au milieu du dortoir telle un épouvantail ! Elle n'a jamais été punie pour cela d'une part mon père alcoolique n'était conscient de rien et d'autre part, ma mère à qui je m'étais confiée n'a pas eu le courage de réagir et demander des explications.
Plus tard, j'ai écrit au substitut du procureur de la république pour une ouverture d'enquête. Malheureusement ma demande a été rejetée pour cause de prescription.
Cette personne qui m'a causé tant de tourments n'est même pas inquiétée par ce qu'elle m'a fait subir. Il faut préciser que durant 7 mois qu'a duré mon calvaire, je n'allais pas à l'école...Bref vive la France des droits de l'homme !

Hakima
 
Le Mercredi 3 Avril 2019

je suis né en 56 57 déja placer en nourrisse alcoolique . puis chez les chmitz et la enfer ses abattu sur moi et de foyer en foyer a 17 ans cette salote de mere et venue me pourrire en la vie 3eme generations placer cela fait

serge verger
 
Le Dimanche 31 Mars 2019

la Dass...un passage assez curieux de 69 à 76......Une violence psychologique lourde à mes 16 ans, dont j'ai failli ne jamais me remettre , mais aussi un grand délaissement...une vêture en 8 années. un éducateur que je voyais plutôt rarement, pas d'argent de poche...dossier perdu entre deux villes...complètement livrée à moi même, entre mes 14 et 18 ans...aucunes visites de contrôle chez un médecin. Aucunes explication de possibilités d'études pour mon avenir. A partir de 16 ans , un seul mot "bosse", mais aucuns accompagnements d'insertion, aucunes explications sur ce que je devais faire et ce que cela voulait dire et pourquoi "bosse"...Mais régulièrement un grand discours très culpabilisant parce que j'étais à la charge de...(je vivais dans un foyer de jeunes filles) Je suis passée à coté de tous les dangers "drogue, prostitution, ect...Mon intuition me prévenait des dangers. Je les quitte, nous nous quittons, j'ai 20 ans! je fais un stage (tuc) dans une asso en tant qu'animatrice public en difficultés (roms)...je passe mon examen d'entrée à l'école d'éducateurs à 22 ans . 12 ans plus tard, je me retrouve en réunion , sur un dossier commun avec ma tutrice DASS de mes 16 ans. ...le gros malaise pour elle...je n'ai pas cherché à approfondir nos relations tuteur-pupille de l'époque, ce rendez-vous était professionnel...mais en sortant de ce rendez-vous , je savais qu'elle savait que j'avais connaissance de ses manquements, me concernant, moi la pupille et...cela m'a suffit pour clore ce chapitre! j'étais à mon tour, éducatrice et mon point d'honneur était que la vêture, les vaccins, l'argent de poche, l'accompagnement, l'écoute de mes jeunes soient bien dans l'ordre de nos préoccupations et de mes priorités! Je suis désolée qu'en 40 ans , la DASS n'a toujours pas appris
bien à vous et bon courage à tous

marie
 
Le Lundi 4 Février 2019

Un enfant de la ddass restera marqué à vie même si il a une situation toute à fait normale par la suite.....Suite à une peine de prison et un divorce de mes parents, j ai été placé à ddass avec mon petit frère et nous avons vécu dans une famille d'accueil dans un village en bourgogne.On nous a retiré de cette famille car les voisins on alerté ma mère comme quoi on était mal traité.....Mes souvenirs; j avais 4 ans et mon frère 2.5 ans on a vécu comme des vrais paysans Oo enfermé dans cette maison des heures dans une pièces à ne rien faire, une fois j ai vengé mon petit frère de leur fils quin arrêtais pas de l'emmerder j ai été puni et je me suis retrouvé sur les genoux les mains sur la tête sur des putains de pierres au soleil pendant des heures wow voila ma famille d,accueil et je ne vous parle pas de l hygiène et de la vie en général trop long, sinon on a atterri 1 an après dans un foyer a 10 kil de là.
Alors le foyer? C était totalement FOU j ai vu des bastons, des viols des vols des insultes de la haine de l'amour et cela de la part de tous!J ai fait 7 ans ensuite je suis retourné vivre chez ma mère.Maintenant je suis marié, j' ai 2 enfants tout va bien pour moi! Mais c clair que rien ne remplacera sa vrai famille.

N-P n°57
 
Le Samedi 27 Octobre 2018

J'ai été à la ddass de 1977 à 1981. 1ere année à laide sociale à l'enfance.e2me année jusqu a mes 17 ans en famille d'accueil séparée de ma fratrie. Cette femme qui ne me prenait que pour le côté financier jusqu a mes 17 ans ne ma jamais frappé car elle avait peur je pense de ce que je pourrais dire mais n a pas arrêté de m'insulter tous les jours de petites phrases assassines. L'argent qui m etait verse pour l'habillement 2 fois par an allait directement dans sa poche sans que je ne vois la couleur de mes habits neufs. Je mettais les habits usagés moches de ses filles aînées. Je pourrais écrire un livre sur cette maltraitansse. Quand la ddass aura compris que ces lois qui datent de Napoléon sont à changer, quand elle comprendra qu il faut arrêter de nous séparer des familles d'accueil qui nous donnent de lamour sous prétexte que ce n'est pas bon pour l'enfant. Au contraire c'est ce qui peut réparer un enfant. Et quand je vois des reportages en 2018 je vois que rien n a changé malheureusement pour tous ces enfants. Je me suis endurcie et c'est ce qui ma sauve mais heureusement que j'avais le caractère mais que de colère toujours au fond de mois à 54 ans. Je traîne ce boulet à vie !

Battagin
 
Le Mardi 24 Juillet 2018

Veuillez ci joints mon témoignage fin 68 j'avais 9 ans les gendarmes sont venu accompagnez d'une peste assistante social Mme Lestoclet pas sur de l'orthographe , m'extraire de l'école , ma maman et mon petit frère lui aussi sourd - e et muette sont devenues alcoolique avec le beau père dont j'ai pris sont nom j'avais alors 2/3 Ans suis le fruit d'un viol commis dans les toilettes de ce dernier par mon oncle marié a une de ces sœurs il faut savoir que maman ayant perdu ces parent fut placer a tours de rôle chez ces sœur elle avait alors 17 ans la fratries de maman était recomposez en période de guerre et la perte d'une petite sœur par manquent de lait la première fratrie Etant de 2 fille + le décé de la petite 2 ieme fratrie sont née 4 sœurs dont ma maman , suite au viol elle fut placez a la Ddass suite a cela revenu dans sa famille , j'ai été baloter dans cette familles divers , mon placement a la Ddass ou 1 éducateur ma molester pour rien heureusement la cuisinière a tout vue st intervenue l'éducateur a eu chaud , j'était frêle passant inaperçus ma discrétion fut elle que j'observais reclus dans un coin sans me plaindre ne parlant jamais de mon qu'a n'y du pourquoi cette situation j'avais 10 Ans , puis vain un camarde de mon village avec je jouait a eu la visite de sa maman elle a sue que j'était la a demandez au directeur M Gouwy si pouvais me prendre en weekend qui a été acceptez avec l'interdiction d'y rencontrer ma famille mais cette dernière n'a pas écoutez et ont est allez voir ma marraine vit ma mère passez devant chez elle et ma dit regarde en te cachant derrière le rideau j'avais la gorge noué , j'ai jamais eu de visites de ma mère car interdit quant à mon petit frère sourd et mué lors d'une colonie à mon retour j'avais acheté pour 50 francs de carambar mon argent de poche la surprise fut que ce dernier a été placé ailleurs a mon grand désarroi je ne l'ai jamais revu excepter lorsqu'il fut adulte je n'ai pas la fibre de frère quant à maman je l'ai revue dans la rue lors d'une visite dans le Nord avec mon fils et mon épouse il ne sait rien passer même pas un bisou, j'ai tenté de me faire comprendre . A-t-elle compris je sais pas nous étaient des étrangers l'un pour l'autre, pourquoi la Ddass n'a pas permis les visites pourquoi cette haine, pourquoi avoir laissé l’impunité au géniteur du viol maman pouvait pas se défendre seule . Monsieur Mesdames de la Ddass je vous hais vous avez gâché notre vie

lulu
 
Le Jeudi 19 Juillet 2018

bonjour, je viens de lire un peu les messages, je n ai pas encore entendu votre témoignage mais je voulais tout de meme vous faire part de mon expérience de l autre côté de la rue si je puis dire car voisine d un lieu d accueil, je vis de l extérieur après ce que j entends des cris, des insultes, du chantage ... de plus ils ont une fille adoptive handicapee qu ils ont malmenée pendant des années. je suis stupéfaite que même après plusieurs signalements (gendarmerie, justice, ASE), ils espèrent avoir un 2eme agrement et que l ASE n intervient pas fait la sourde oreille.
Ces derniers temps, nous leur avons apporte pleins de preuves de ce que nous avançons notamment que les jeunes sont corvéables à merci
la responsable du site est une hystérique qui est déjà venu chez moi "m incendier" elle me fait peur mais je ne me tairais pas pour défendre la cause des enfants moi même orpheline de père et mère.
bon courage à vous avec toute ma sympathie

rosedenoel
 
Le Jeudi 12 Juillet 2018

Bonjour , je vais essayer de faire court ...
Ma famille surveillée depuis 1998 il me semble après plusieurs interventions des service sociaux car nous , 5 enfants , trainions dans les rues , n'allez pas à l'école . Nos parents étaient alcoolique et notre mère enchainer les tentatives de suicide . Placement décidé en 1999 . Moi avec mon frère en foyer et nos 3 demi soeurs ensemble dans un autre foyer . Notre mère en cure de désintoxication pour l'alcool et notre père en dépression . Nous avions droit à des visites parfois mais rare étaient elles . J'ai étais placé j'avais 5 ans mon frère presque 7 ans . A mes 7 ans on me retire du foyer pour partir en famille d'accueil . Début d'une grande séparation avec tout liens familiaux ... A mes 8 ou 9 ans , plus de visite de notre père suite à une enquête d'agression sexuelle sur une des plus grande demi soeur : il renonce à ses droits . Notre mère se suicide quand j'eu 10 ans . Je suis restée placé chez cette famille d'accueil jusk'a mes 19 ans tout liens avec frère et soeurs rompus . Entre temps , j'ai subi des attouchements sexuels de la part de son fils qui venait en week end parfois , mais quand on est réduit à néant on ne parle pas . Dur dur de réussir à partir , c'était une femme toujours en train de vous dicter ce que vous devez faire , considérée comme faisant partie des meubles comme elle disait , lors des repas de famille on manger nous les enfants placés dans la cuisine etc toujours ce sentiments d'être prisonnier , de ne pas se sentir à sa place , de manque ...
Le seul point positif est que je suis net d'esprit et que j'ai eu une éducation .
A mes 19 ans arrivé en contrat jeune majeur en appartement , accompagnement top . Fin à mes 21 ans , à la rue . J'ai vécu quelques temps chez mes beaux parents jusqu'à ce qu'avec mon petit ami nous avons pris un appartement . Et aujourd'hui 4 ans après être sortis de tout ca , je suis tjrs avec cette personne et je ne le remercierai jamais assez de m'avoir sorti de la . Ce n'est pas facile tout les jours de vivre avec ca , j'ai l'impression d'avoir vécu 2 vies . Le seul endroit qui me rappel la personne que j'étais est la tombe de ma mère où ca me remets sur la route , ca me rappel toutes ses épreuves , comment je me suis battue pour être là aujourd'hui . Et aujourd'hui , je suis une sans famille . Tout liens avec cette famille d'accueil ont été rompus également .

Cindy62
 
Le Jeudi 3 Mai 2018

Moi j'ai été abandonné a 14 ans par ma mère en foyer d'urgence foyer et familles d'accueilles j'ai jamais connus mon père et ils ne m'ont pas renouvelé le contrat jeune majeur parce que j'avais arrêté ma formation en commis de cuisine donc je me suis retrouvé a la rue pendant 6 mois jusqu'à ce que je fasse un malaise dans la rue et me retrouve a l'hopital de la colombiere a montpellier ou j'ai parlé a un psychologue et une assistante sociale ils m'ont donc monter un dossier mdph et par chance je l'ais eu mais maintenant il me manque un logement a moi parce que j'en ais marre de vivre a moitié dans des cliniques a moitié chez des amis mais je dois m'en contenté en attendant d'avoir un logement mais sinon j'ai toujours été bien traité en famille d'accueuille et en foyer

Sofien
 
Le Mardi 23 Janvier 2018

Ma tante a accueilli trois enfants de la DDASS , la plus grande fille dans les années 50 , un nouveau né abandonné en 1954 garçon décédé à 50 ans et la sœur de la plus grande dans les années 1960 que la ddass a placé d’office avec sa grande sœur alors que ma tante avait refusé mais à qui on a fait comprendre que si elle ne la prenait pas il lui enlève la plus âgée . Bref je n’écris pas pour ces enfants qui ont toujours été pour nous des cousins et cousines (que mes frères et sœurs et moi même nous aimions beaucoup )bien éduqués et bien gâtés,même si notre tante paternelle et notre grand-mère maternelle nous repoussaient en disant que nous étions mal élevés , ce qui n’est pas vrai du tout . Nous avons vécu l’enfer avec nos parents en grande partie à cause de cette tante et de cette grand-mère . Ce n’est pas toujours les enfants de la ddass qui sont en souffrance.

Jack
 
Le Mercredi 18 Octobre 2017

Bravo pour votre belle initiative... je vous ai écoutée sur la Libre Antenne et j'ai été très touchée. Vous allez vous en sortir vous êtes courageuse ! A présent sachez vous entourer et choisir les bonnes personnes qui sauront vous élever et vous aider à vous reconstruire. Courage vous allez voir le bout du tunnel, vous y êtes presque. Vous êtes une bonne personne.

MINIC
 
Le Lundi 16 Octobre 2017

Je vous écoute en ce moment sur le podcast d'EUROPE 1, et votre témoignage m'émeut beaucoup. J'espère que vous allez retrouver votre paix intérieure et une joie de vivre avec l'aide de bons professionnels qui seront vous guider et vous aider. Et surtout ayez la force de continuer votre combat pour rallonger le délai de prescription car en effet 3 ans est vraiment tellement peu ... Je vous souhaite plein de courage pour la suite et ne perdez pas espoir.

AMELIE
 
Le Lundi 16 Octobre 2017

Je vous ai entendue hier soir à la radio Europe 1 et j'ai été bouleversée par votre histoire. La famille à qui vous avez été confiée est une famille qui ne doit pas être une famille d'accueil, la mère qui vous a maltraité, insulté, doit avoir honte de vous avoir fait subir toute cette torture. Vous devriez pouvoir avoir le droit de porter plainte au-delà des trois ans après votre majorité. Il faut que la loi change à ce sujet et vite ! Vous méritez aujourd'hui de connaître les plaisirs de la vie, de voir que beaucoup de gens comme moi vous soutiennent et vous souhaitent le meilleur à venir.

carine
 
Le Lundi 16 Octobre 2017

Un enfant est un être en devenir. Tous les espoirs sont permis et une action comme celle ci , apportera cette lumière nécessaire à un bon développement vers le bonheur.
Les adultes maltraitants prendront peut-être conscience de l’impact que peut avoir leurs actes sur les enfants. J’ai bon espoir.

Sonia
 
Le Lundi 16 Octobre 2017

J' ai écouté votre message ce soir sur "La libre antenne", j' ai été très touchée par votre témoignage. Je suis persuadée que vous allez pouvoir vous reconstruire avec l' aide des professionnels. Les gens sont payés par la DDASS pour élever les enfants des parents défaillants. Certains, offrent leur affection et leur dévouement à ces enfants, mais d' autres, mal intentionnés, intéressés seulement par l' appât du gain ne leur imposent que misère et chagrin. Ils devraient être lourdement punis et OUI vous devriez pouvoir porter plainte au delà des 3 ans. Je vous embrasse et vous souhaite le meilleur désormais. NOËLLE

BYDOLEK NOELLE
 
Le Lundi 16 Octobre 2017

Je vous écoute sur "libre antenne"
Ne vous découragez pas, votre message est entendu.

Clémence
 



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